Sofi En Camion –Suite –

Il a bien fallut trouver un moyen de sortir de la morosité sexuelle dans laquelle nous étions retombés. Sofi voyait bien que notre couple était en danger et qu’il fallait qu’elle fasse a nouveau un effort sur ses appréhensions. Elle avait déjà franchit le pas une première fois, s’en était sortie avec de bons souvenirs mais la trouille lui collait à nouveau au ventre. Pourtant un soir de mai, elle se prépara avec élégance, raffinement et sensualité. Elle avait prit rendez vous auprès de l’esthéticienne, du coiffeur et elle me revint particulièrement affriolante, le sexe encore rouge des sons prodigués mais quasiment imberbe. J’étais certes très content mais il me manquait encore du piment.


Et du piquant, j’en ai eu… Le soir vers 21h alors que la lumière commençait a décroître, elle vint me retrouvée dans une nuisette fortement échancrée, courte et fendue dont le tissu transparent ne cachait rien de ses formes généreuses. J’étais exacerbé par son comportement et j’attendais plus qu’une soirée télé/câlin, face au dédain que j’affichais, elle me demanda ce qu’elle pouvait faire pour me redonner goût a une liaison plus torride. Je lui ai demandé sèchement de sortir de façon et provocante, d’allumer ceux qu’elle rencontrerait en allant me chercher des cigarettes. Je savais qu’a cette heure, il n’y avait plus qu’une station de routiers où elle pouvait en trouver. Elle remonta dans la chambre n’ayant mis sur sa nuisette qu’une petite jupe fendue écossaise. Elle ne portait quasiment rien et lorsqu’elle se baisa pour mettre ses talons j’ai pu apercevoir qu’elle ne portait rien dessous et que sa jolie fente était à porté de tous dès qu’elle était un peu penchée. Je lui ai demandé qu’elle profite d’être à la station pour faire le plein de son véhicule tout en sachant qu’elle serait obligée d’être courbée vu la configuration de la station. Je suis donc partie en premier dans ce routier afin de voir l’effet qu’elle allait provoquer.

Je me suis installé au bar et j’ai attendu. J’ai vu arriver ma femme et j’ai vu les regards se diriger vers la piste où elle se trouvait dès qu’elle est descendue. Lorsque qu’elle a fait le plein, on voyait ses fesses et son sexe offert, les pompes étaient illuminées et rien ne nous échappait. Lorsqu’elle rentra pour régler, les souffles se firent courts et les regards étaient scotchés sur elle. Elle demanda les cigarettes et à ma surprise s’approcha du bar, fit semblant de ne pas me connaître et s’installa sur un tabouret haut et commanda un café. Elle sortie les clopes et déjà un briquet lui était tendu. Elle sourit et commença a engager la conversation vers le jeune routier qui l’entreprenait. Au bout de quelques minutes, je vit la main de Sofi courir sur le jean de son voisin, une bosse se formait et il me regarda me fit un clin d’œil. Sofi se retourna et engageant également la conversation toujours en feignant de ne pas me connaître. Nous étions maintenant tous deux autour d’elle et nous faisions des envieux. Nous avons pris quelques consommations ensembles, ma femme se déridait et continuait ses petits jeux de mains. Notre jeune routier nous invita a sortir et nous nous sommes dirigés vers sa cabine. Sofi venait juste de monter une marche que déjà il avait ses mains sous sa jupe au contact direct de ses fesses et l’aidait à grimper plus rapidement. Il nous proposa de boire un whisky ce qui eu pour effet d’effacer les dernières barrières que Sof s’était données. Elle dégrafa nos jeans et nous gratifia de sa bouche a tour de rôle. Notre hote nous invita a nous rendre dans la couchette derrière mais afin que le parking fut satisfait il laissa le plafonnier allumé. Il démarra son ensemble et se mit en vu de tous. Sof était ravie car non seulement elle allait me donner et se donner du plaisir charnel mais elle se livrait a la vu de tous. Elle commença par m’enjamber et prit entre ses dents mes pointes de sein qu’elle mordilla avec frénésie. Eric lui ne restait pas inactif il caressait ma femme et ses doigts se firent curieux allant même après avoir branle Sof a s’introduire dans l’étroit passage.
J avais compris le message et des deux mains j’ai écarté les fesses qui se dandinaient sur moi facilitant le passage du sexe d’Eric dans le cul de ma femme. Elle se redressa un peu et nous avons alterné caresses jeux de langues sur ses mamelons que je n’avais jamais vu si durs. Elle jouissait la coquine, cela s’entendait et se sentait. Elle se coula sur le coté offrit sa vulve tandis qu’a nouveau elle me gratifia d’une belle pipe tandis que ses doigts allaient visiter mon petit trou. Cette manœuvre fut couronnée par de longs jets que ma douce avala avec précaution et nous avons été rapidement rejoins par Eric qui se tendit et s’accrocha aux anches de Sof tout en remplissant la capote qu’il avait pris soins de mettre avant. Nous étions heureux et repus mais lorsque Sof leva la tête et vit ces camionneurs qui regardait nos ébats avec intérêt elle nous demanda de sortir et de nous rendre dehors afin qu’ils puissent mieux profiter du spectacle. Elle sortie nue mais une fois dehors elle constata que la température était encore basse en ce début mai, Eric nous proposa de nous rendre dans sa semi. Nous sommes montés, la lumière était encore branchée et nous avons vu 5 ou 6 chauffeurs se positionner devant les portes de la remorque. Il y avait assez de place pour tous et après un signe de ma douce ils sont venus nous rejoindre. Elle s’est retrouvée sur le dos, posée sur un grand carton. L’un des routiers qui venait de nous rejoindre vint mettre son nez et sa langue dans sa chatte reluisante. Sof recommença a se tordre de plaisir tandis qu’elle branlait deux autres des types qui venaient de monter. Elle se mit ensuite a genoux sur ce carton mettant sa croupe a disposition, le cul bien dressé. J’ai sortie quelques préservatifs que j’ai distribués et a tour de rôle, ils sont venus enfiler ma femme. Sa vulve était reluisante , elle accompagnait chaque coup de bite et semblait heureuse d’être ainsi prise et offerte sans ménagement Les autres ne restaient pas inactif leurs mais couraient sur le corps offerts et il furent gratifiés par une bonne pipe.
Plus elle se faisait défoncer plus elle suçait avec délice, elle s’abandonnait à la jouissance. Les chauffeurs ont lime un par un jusqu'à chacun ait eu son compte le dernier remercia Sof en insinuant sa langue dans son cul ce qui fit de nouveau jouir ma salope d’un jour. Plusieurs jet de sperme était présent sur ses seins sa chatte et sur son front. Nous restions là tous trois un peu désabusés par ces minutes de folie. Nous avions retrouvés nos forces et avant de nous quitter Sof demanda a Eric de l’enculer a nouveau mais doucement. Il l’a prise en position de la cuillère. Je pouvais voir le visage ravie de ma femme, jouer de ses seins et de son petit bouton tout en voyant par les soubresauts qu’elle se faisait limer avec détermination.

Sof maintenant s’exhib souvent auprès des chauffeurs. Elle sait que ces hommes ne rentrent pas souvent chez eux et qu’ils se montrent courtois et endurants. Il n’est pas rare qu’elle retrousse jupe string écartant les cuisses lorsque nous doublons un camion mais il ne regardent pas forcement. Si vous avez un petit truc pour attirer leur attention


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